I/O Gazette
mardi 04 février 2020
Par Marc Pittet
Le temps s’arrête, expectoré. Pris à témoins, nous subissons l’idiome nazi comme une thoracique pesanteur. Cette scénographie à la troublante sobriété nous déplace sans retour dans les rigueurs de l’été 1944. Transpatialisation transmédiale en vert de gris taché d’horreurs spasmodiques. L’emboîtement monotone de formes grossières aux lignes bien droites, précipitent sous nos yeux la nauséabonde......