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Milo Rau imagine avec Edouard Louis le spectacle "The Interrogation" : pouvons-nous échapper à notre histoire par l’art ou l’art n’est-il que le témoignage d’une libération ratée ? Depuis Niamey, nous sommes avec l'auteur togolais Gustave Akakpo qui a écrit à 6 mains un texte sur la diversité.
Edouard Louis, écrivain, auteur de "Changer : méthode" (Seuil), est l'invité de 7h50.
Dans son dernier roman, "Combats et métamorphoses d'une femme" (Seuil, 2021), Édouard Louis nous livre le récit d'une libération : celle de sa mère, Monique, longtemps écrasée par une domination de classe et de genre, qui est finalement parvenue à s'émanciper.
"Qui a tué mon père ?" Cette question posée par Edouard Louis dans son récit de 2018, est une réclamation de justice pour tous les oubliés et les exploités du système social français. Edouard Louis remet son texte en scène avec Thomas Ostermeier, (Théâtre de la ville), et endosse, cette fois, lui-même son propre rôle.
Au sommaire de cette Dispute spectacles vivants : “Qui a tué mon père” au TNS, “Les Elucubrations d'un homme frappé par la grâce” au Théâtre Antoine, et “L'Amour en toutes lettres. Questions sur la sexualité à l’Abbé Viollet" (1924-1943)” au Théâtre de Belleville. Enfin, un coup de coeur (Amour et Psyché).
Stanislas Nordey fait entendre les mille nuances du texte bouleversant d’Edouard Louis. Le silence entre le père et le fils, les quelques moments d’amour, la violence des rapports familiaux, et les retrouvailles alors que le père n’est plus qu’un corps brisé par la société.
Metteur en scène, comédien, mais aussi directeur du Théâtre National de Strasbourg, c’est à La Colline qu’on le retrouvera dans deux semaines pour "Qui a tué mon père", le très beau texte d’Edouard Louis. Texte de confrontation, texte politique, texte d’amour. Stanislas Nordey est l'invité d'Augustin Trapenard.
Avec Falk Richter, auteur et metteur en scène et Édouard Louis, écrivain. jeudi 21 février 2019 - 18h /Salon Roger Blin. Comment la démesure scénique, à la source d’une contestation radicale, crée-t-elle une économie de la langue et nous informe-t-elle sur les rapports sociaux.
Tiens revoilà Edouard Louis. Ecrivain de la violence sociale, d’"En finir avec Eddy Bellegueule" à "Qui a tué mon père", quels mots met-il sur ces colères qui innervent la France comme des veines sur un cou tendu ?
Si Christine and the Queens est désormais « Chris », nouveau personnage garçonnet et musclé de la chanteuse pop, elle s’appelle aussi un peu Edouard. Edouard Louis.
L’écrivain publie "Qui a tué mon père" (éditions Seuil). A travers le récit de son enfance, il revient sur l'histoire de son père qu’un accident de travail a physiquement et psychologiquement broyé, et s’adressant à lui, sur cet amour qu’enfin, il lui avoue.
On ne connaît jamais le père et la mère qui nous ont fait. Edouard Louis publie son troisième roman, "Qui a tué mon père" (Seuil), sans point d'interrogation, un cri d'amour mais aussi un pamphlet politique.
À 25 ans et en trois livres, le jeune auteur fait désormais de la politique et parle de ce qu’elle fait. D’une littérature de l’émancipation à une littérature de la confrontation.
Il est sociologue et écrivain. Depuis "En finir avec Eddy Bellegueule", il y a quatre ans, il continue d’analyser les mécanismes de la violence et de la domination sociale. "Qui a tué mon père", son nouveau livre, sous forme de réquisitoire, vient de paraitre. Edouard Louis est l'invité d'Augustin Trapenard.
Edouard Louis est né dans les années 90 dans un village de Picardie, où il valait mieux être dur qu’efféminé. Adolescent il lit "Retour à Reims" de Didier Eribon et se dit : "c'est ma vie". Eddy devient Edouard, devient écrivain. Il est là avec ses deux amis Didier Eribon et Geoffroy de Lagasnerie.
L'écrivain Edouard Louis s'installe aux côtés de Laure Adler
Laure Adler s'entretient avec l'écrivain Edouard Louis. C'est par la lecture que commence le parcours d'Edouard Louis; "Juste la fin du monde" du dramaturge Jean-Luc Lagarce, qui lui donnera envie de faire du théâtre; "Retour à Reims" de Didier Eribon, qui le ménera à l'écriture. Ecrire pour raconter ce monde ouvrier qui était le sien, et où les livres n'ont pas leur place. Ecrire pour raconter cette douleur de devoir réellement "apprendre à lire" . "Choisir une vie, c'est toujours en écarter d'autres",,,