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Edgar Scassa

France

Dernières critiques

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tanznetz.de

vendredi 24 août 2018

Agression und zärltlichkeit

Par Annette Bopp

Das Pariser Kollektiv erforscht mit 11 PerformerInnen den Tanz- und Musikstil Jumpstyle, der Anfang dieses Jahrhunderts in Vororten belgischer und niederländischer Großstädte entstand und sich über YouTube weltweit verbreitet....

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Theaterkrant

lundi 16 juillet 2018

‘To Da Bone’ is een ontwapenende hommage aan de jumpstyle...

Par Joost Ramaer

Minutenlang springen de twaalf jonge dansers – elf mannen en één vrouw – wild heen en weer over het volledig ontbeende podium van de Grote Zaal in de Stadsschouwburg Amsterdam. Zonder muziek, in perfecte coördinatie. Ze stampen op piepende gympen, maar het geluid van soldatenlaarzen is niet ver weg. Af en toe schreeuwt een van hen iets dat klinkt als een bevel tijdens een kazernedrill.

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Journal La Terrasse.fr

vendredi 23 février 2018

Maîtrise des codes du plateau

Par Nathalie Yokel

Comment faire d’une danse de 10 à 25 secondes une pièce chorégraphique ? Comment faire d’un pas transmis individuellement sur la toile une pièce collective ? Comment mettre au jour des pratiques, issues de la culture techno-hardcore, dans les codes de la danse contemporaine ?

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Le Monde.fr

samedi 03 février 2018

(La)Horde, bande de performeurs

Par Rosita Boisseau

Chorégraphies, performances, vidéos… Les trois trentenaires du collectif (La)Horde évoluent sur de multiples terrains. Dans « To Da Bone », en tournée en France, ils mettent à l’honneur le jumpstyle, avec des danseurs recrutés sur Facebook....

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mouvement.net

mardi 03 octobre 2017

Du jumpstyle au ballet russe

Par Marie Pons

"''To da bone'' est un morceau d’Europe placé là, focus à l’est, vers une jeunesse à qui le collectif (LA)HORDE offre une sortie politique. En guise d’image finale, la silhouette noire des onze se découpe sur fond de fumées épaisses comme des gaz lacrymo. Les sauts deviennent soulèvements, début d’insurrection. Prémices d’autre chose, l’aube d’un nouveau mouvement."...

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Les Inrocks

vendredi 29 septembre 2017

Avec (La)Horde, le jumpstyle saute sur le plateau de Charleroi Danse

Par Fabienne Arvers

 "terrasser le piétinement mortifère d’une société à bout de souffle en lui opposant le bondissement survolté d’un mouvement de résistance"...

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Inferno

samedi 03 juin 2017

Hétérachique, quoi que !

Par Emmanuel Serafini

La Horde est le nom de guerre qui rassemble Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel depuis 2011. C’est en 2014 avec « Avant les gens mouraient », une pièce pour les étudiants de l’Ecole de danse contemporaine de Montréal, qu’ils se font remarquer et qu’ils composent un fameux « dix minutes » pour le concours « Danse élargie » du Théâtre de la Ville de Paris en 2016. Ainsi nait l’embryon de To da bone qui revient primé sur les bords du St Laurent…

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lalibre.be

samedi 03 juin 2017

Rpenser l’individu et la communauté

Par Marie Baudet

Du Web au plateau, le jumpstyle comme cas d’école, et matière à une création, "To Da Bone", au FTA avant Charleroi. Rencontre....

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Jeu - Revue de théâtre

jeudi 01 juin 2017

To Da Bone : Grands sauts |

Par Christian Saint-Pierre

Galvanisant, c’est le premier mot qui vient en tête pour qualifier To Da Bone, le spectacle présenté au FTA par (LA)HORDE, un collectif…...

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Le Devoir

jeudi 01 juin 2017

Sauts d’images

Par Catherine Lalonde

renez une danse-phénomène toute neuve, d’un peu plus d’une dizaine d’années, nichée sur Internet, le jumpstyle. Trouvez-en les danseurs, fans autodidactes ayant appris en solo par le truchement de l’écran et de la Toile. Réunissez-les, de Pologne, de France, d’Ukraine, d’Allemagne, de Hongrie ou du Québec, sur une scène, et construisez à partir de là. Tels sont les ingrédients de To Da Bone, du collectif (LA) HORDE, proposé mercredi soir en première mondiale au Festival TransAmériques.

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