samedi 06 avril 2013
Par Bruno Fougnies
On est comme en apnée, fascinés par la même quête que les personnages. Comme Tom, on écarquille les yeux et les oreilles pour distinguer un signe d'humanité, une expression sur le visage obscur de x, quelque chose qui nous rassurerait, que l'on pourrait reconnaître comme une partie de nous-mêmes, quelque chose à partager, mais non. Des bribes, oui, des instants fixes, niés la seconde d'après. On ne reconnaît plus rien....
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