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Alors qu’il retrouve Samuel Beckett sur scène, dans “Fin de partie”, toujours mis en scène par Jacques Osinski, le comédien revient avec nous sur un parcours d’une rare intégrité, au service de la parole des auteurs et en perpétuelle recherche.
Au micro d'Arnaud Laporte, Denis Lavant fait sa Masterclasse. À Avignon, au milieu des cigales, il évoque son parcours de comédien, sa recherche d'un idéal (celui du clown), son rapport aux arts et aux metteurs en scène qu'il a rencontrés depuis ses débuts, dans les années 1980.
Au micro d'Arnaud Laporte, Denis Lavant fait sa Masterclasse. À Avignon, au milieu des cigales, il évoque son parcours de comédien, sa recherche d'un idéal (celui du clown), son rapport aux arts et aux metteurs en scène qu'il a rencontrés depuis ses débuts, dans les années 1980.
Dans ce cinquième et dernier entretien, Denis Lavant convoque les poètes qui l’accompagnent : Rimbaud, Lorca, René Char, Nietzsche, Verlaine, Beckett, Rimbaud, Hugo, Jean-Pierre Martinet, Henry Miller, mais aussi Bobby Lapointe et Serge Reggiani.
Au cours de ce quatrième épisode, le comédien évoque les personnages élisabéthains qu’il a incarnés et ceux qu’il aimerait encore jouer.
Dans ce troisième entretien, Denis Lavant réfléchit à la relation qu’il entretient avec le théâtre et les personnages qui l’habitent, ainsi qu’aux rapports de pouvoir et de séduction existant entre le metteur en scène et le comédien.
Dans ce deuxième épisode, il est question du compagnonnage que Denis Lavant entretient depuis une trentaine d’années avec le réalisateur de Boy Meets Girls, Mauvais Sang, les Amants du Pont Neuf, et Holly Motors, Leos Carax.
Dans ce premier épisode, Denis Lavant évoque ses débuts au théâtre avec la compagnie de théâtre forain "Les baladins du Miroir", le langage du corps et sa vigilance face à la parole. Il dit avoir apprivoisé la parole par le théâtre et la poésie.
Nous recevons le comédien Denis Lavant, pour son seul-en-scène, "Le Sourire au pied de l’échelle", d’après un texte de Henry Miller, au Théâtre de l’Œuvre. Le récit de la crise existentielle d'un clown qui visait la lune, et qui ne voulait plus faire rire les gens, mais leur apporter de la joie.
L’acteur et comédien de théâtre est à l’affiche de « Cap au pire », un texte de Samuel Beckett, dans une mise en scène de Jacques Osinski, à l’Athénée Théâtre, jusqu’au 14 janvier.
Sur scène ce soir : "Cap au pire" de Samuel Beckett avec Denis Lavant, "Actrice" de Pascal Rambert et "Singin' in the Rain" au Grand Palais.
Enregistrée durant le Festival d'Avignon 2017, cette masterclasse éclaire les rapports de Denis Lavant au théâtre ainsi qu'au cinéma, son parcours et ses relations avec les cinéastes...