Zibeline
mercredi 10 avril 2019
Par Chris Bourgue
« Une mélopée poétique d’une grande intensité qui mêle l’innocence de l’enfance au trouble de la maturité... superbement interprétée par Stéphanie Rongeot, à l’énigmatique sourire de Joconde »...
Suisse
Zibeline
mercredi 10 avril 2019
Par Chris Bourgue
« Une mélopée poétique d’une grande intensité qui mêle l’innocence de l’enfance au trouble de la maturité... superbement interprétée par Stéphanie Rongeot, à l’énigmatique sourire de Joconde »...
Zibeline
vendredi 18 janvier 2019
Par Chris Bourgue
Lamento de Livia se donne dans le cadre d’un bistrot dont vous êtes les clients. Une femme brisée vous apostrophe et réclame sa part. Sa plainte monte comme un chant sourd. Ses souvenirs affleurent en même temps que le manque. Elle boit. Pour oublier sa solitude. Le texte s’écoule simplement avec une vérité crue, qui ne juge pas, laisse sourdre l’émotion. Un très beau portrait de femme blessée, merveilleusement interprété par Lucile Jourdan......
Gauchebdo
jeudi 17 janvier 2019
Toute lumière braquée sur la pauvreté
Par Emmanuel Deonna
Grütli, «Si les pauvres n'existaient pas, faudrait les inventer» de Jérôme Richer résonne avec force et acuité aux questions posées par un colloque sur les droits sociaux, organisé à l'occasion des 90 ans de la section genevoise de la Ligue suisse des droits de l'Homme....
Le Temps
mercredi 16 janvier 2019
Au Théâtre du Grütli, la pauvreté s’exprime sans ambiguïté
Par Marie-Pierre Genecand
Jérôme Richer a déjà écrit avec succès sur les Roms. Ces jours, à Genève, il donne la parole à la pauvreté. Et ça cogne...
Journal La Terrasse.fr
vendredi 22 juin 2018
Portrait de femme sous emprise
Par Marie-Emmanuelle Dulous de Méritens
La pièce en forme de monologue, d’adresse directe au public, narre l’histoire de Livia, l’italienne. Elle se noie. Dans l’alcool. Seule en scène, la comédienne et metteure en scène Lucile Jourdan, à l’initiative de cette commande de portrait de femme sous emprise, donne corps et voix à cette femme broyée....
lundi 08 décembre 2014
Par Agnés Freschel
Lucile Jourdan a choisi de mettre à distance ces douleurs en tirant le conte vers un irréalisme du jeu et des costumes, des lumières. Les masques sublimes, les transparences du décor, fabriquent de très belles images, effrayantes pourtant, mais rendues supportables. Car ici pas de méchant, pas d’innocent : si les loups mangent c’est pour ne pas mourir....