theatre-contemporain.net artcena.fr

Pas de photographie de cet auteur

Claude Porcell

France

Dernières critiques

Image de Avant la retraite

Libération

dimanche 20 février 2022

«Avant la retraite», nazis dans le rétro

Par Philippe Lançon

Portée par un trio d’acteurs virtuoses, la pièce de Thomas Bernhard met en scène des retraités nazis qui célèbrent l’anniversaire d’Himmler. Une tragédie grinçante qui nous renvoie à notre propre inertie face aux extrémismes contemporains....

Lire l'article sur Libération

Image de Avant la retraite

Le Monde.fr

jeudi 20 janvier 2022

« Avant la retraite » ou la folie douce de Catherine Hiegel

Par Fabienne Darge

La comédienne subjugue dans la pièce mise en scène par Alain Françon, partition follement virtuose de Thomas Bernhard qu’elle joue tout en nuances, au Théâtre de la Porte-Saint-Martin, à Paris....

Lire l'article sur Le Monde.fr

Image de Avant la retraite

Le Monde.fr

mercredi 19 janvier 2022

« Avant la retraite », le carnaval des monstres de Thomas Bernhard

Par Fabienne Darge

Au Théâtre de la Porte-Saint-Martin, à Paris, Alain Françon signe la mise en scène de ce huis clos ravageur à l’écriture étourdissante....

Lire l'article sur Le Monde.fr

Image de Avant la retraite

La Gazette du théâtre

lundi 17 janvier 2022

Le nazisme pour ce qu’il est

Par Pascal Olivier

Bernhard montre dans « Avant la retraite » le nazisme pour ce qu’il est : une médiocrité habillée en uniforme Hugo Boss. Pas de fascination pour l’esthétique nationale socialiste ici, comme on la trouve trop souvent ailleurs. Comme toujours, Alain Françon n’adapte pas l’œuvre, mais s’adapte à elle....

Lire l'article sur La Gazette du théâtre

Image de Avant la retraite

Mediapart

dimanche 16 janvier 2022

N’attendez pas de l’être pour voir « Avant la retraite »

Par Jean-Pierre Thibaudat

Cruelle comme toutes les pièces de l’auteur autrichien Thomas Bernhard, « Avant la retraite » creuse « l’âme allemande » à travers l’empreinte nazi dans ce qui reste d’une fratrie divisée. Alain Fr......

Lire l'article sur Mediapart

Image de Avant la retraite

PublikArt

samedi 15 janvier 2022

"Avant la retraite", un huit clos sulfureux

Par Amaury Jacquet

L’œuvre de Thomas Bernhard brûle d’une rage dévastatrice et se débat à la fois contre et avec le poids d’une culture emprunte de traditions, de chaos et de contradictions. Une hargne propre à dénoncer une société mortifère, gangrénée par sa lâcheté collective, et qui s’efforçait de cacher son passé historique dans lequel elle s’était compromise. Attaquant violemment son Autriche natale et son histoire, Bernhard témoigne aussi de nos sociétés occi...

Lire l'article sur PublikArt

Image de Avant la retraite

Cultures SNES-FSU

samedi 15 janvier 2022

Dénonciation féroce d'une Autriche qui ne regrette rien de son passé

Par Micheline Rousselet

La pièce de Thomas Bernhard avait provoqué un scandale lors de sa création à Vienne en 1979. Il y fait avec une ironie féroce la peinture d’une société autrichienne où persistent l’antisémitisme et l’admiration pour le nazisme. Ce portrait de famille est pour Thomas Bernhard l’occasion de régler ses comptes non seulement avec ce pays qui n’assume rien de son passé, mais aussi avec une société où la bonne conscience de la bourgeoisie ne masque...

Lire l'article sur Cultures SNES-FSU

Image de Avant la retraite

Les Trois Coups

lundi 10 janvier 2022

« Avant la retraite », un huis clos terrifiant

Par Léna Martinelli

Un huis clos terrifiant orchestré de main de maître par Alain Françon. Un spectacle qui a reçu le Grand Prix du Syndicat de la critique 2020....

Lire l'article sur Les Trois Coups

Image de Avant la retraite

Franceinfo

dimanche 09 janvier 2022

Un huis clos terrifiant orchestré par Alain Françon

Par Sophie Jouve

Au Théâtre de la Porte Saint-Martin, Alain Françon dirige un magnifique trio d’acteurs dans une pièce de l’écrivain autrichien Thomas Bernhard....

Lire l'article sur Franceinfo

Image de Avant la retraite

Revue Études

lundi 26 octobre 2020

Théâtraliser sur l'infâme

Par Yvon Le Scanff

Le regard hostile, la présence la plupart du temps muette de cette sœur impuissante et livrée au bon vouloir de ces fantoches emblématiques de ce « grotesque terrible » dont parlait Hugo permet un rire sans complicité. Elle aimante toute la nécessaire identification empathique qui sauve le spectateur d’un rire de complaisance. Le couple nazi est ainsi risible sans jamais cesser d’être repoussant : ce sont des monstres qui s’ignorent....

Lire l'article sur Revue Études