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Charlie Nelson

France

Dernières critiques

Image de 12 hommes en colère

Critiques théâtre Paris

lundi 28 mars 2022

Difficile de choisir

Par Antoine Le Fur

Soit l’histoire de douze jurés lors d’un procès dans lequel il convient de statuer sur le sort d’un jeune homme accusé de meurtre. Est-il coupable ou non coupable ? A priori, sa culpabilité ne fait aucun doute eu égard à l’accumulation de preuves contre lui...

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Image de Les Eaux et forêts

M La Scène

dimanche 08 décembre 2019

«Le gai désespoir »

Par Marie-Laure Barbaud

Les Eaux et forêts de Marguerite Duras, mis en scène par Michel Didym étonne et séduit. Ionesco n’est pas loin. Les trois comédiens soutiennent la partition avec finesse et aplomb....

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Image de Au café Maupassant

Sceneweb

lundi 02 décembre 2019

Maupassant sur un coin de table

Par Vincent Bouquet

Au Théâtre de Poche-Montparnasse, Marie-Louise Bischofberger concocte un menu où s’entrelacent huit nouvelles de Maupassant. Un concept qui révèle toute l’acuité de l’écrivain....

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Image de Les Eaux et forêts

Sceneweb

dimanche 21 janvier 2018

Quand Duras fait un petit tour chez Beckett

Par Stéphane Capron

Michel Didym, le directeur du CDN de Nancy exhume une comédie un peu oubliée de Marguerite Duras, Les eaux et forêts (titre en hommage à l’auteur Louis-René des Forêts). Elle marche dans les pas du surréalisme, dans le Paris des années 60, loin de ses pièces les plus dramatiques et ombrageuses....

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Image de Les Eaux et forêts

Théâtre au Vent

dimanche 21 janvier 2018

Il n’y a rien de plus malfaisant que la banalité

Par Evelyne Trân

Comment celle qui a écrit « La douleur » et le scénario de « Hiroshima mon amour » pouvait-elle être drôle à ses heures ? Le sol est toujours mouvant chez Marguerite DURAS. Elle était tous terrains, la preuve s’il en est cette pièce « Eaux et forêts » où malicieusement, elle s’amuse à bombarder de confettis des personnages au fond d’un tableau indémontable,

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Image de 12 hommes en colère

DMPVD

vendredi 15 décembre 2017

Alors, coupable ou non coupable ?

Par Plûme

Il fait chaud, très chaud, dans cette pièce fermée en cette fin d’après-midi, dehors l’orage menace. Douze jurés en complet-veston-cravate sont réunis pour délibérer sur la culpabil…...

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Image de 12 hommes en colère

Sceneweb

jeudi 12 octobre 2017

12 hommes (prétendument) en colère

Par Vincent Bouquet

Le défi à relever était de taille. En montant la pièce de Reginald Rose, 12 hommes en colère, au Théâtre Hébertot, Charles Tordjman s’exposait immanquablement à la comparaison avec le chef d’œuvre cinématographique de Sidney Lumet. Soixante ans plus tard, s’il s’empare honnêtement de ce substrat en or, force est de constater qu’il ne parvient pas à faire mieux, ni même à proposer une voie foncièrement singulière....

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Image de 12 hommes en colère

Comme il vous plaira

mercredi 11 octobre 2017

Révéler l’humanité

Par Judith Policar

Le rideau se lève : 12 hommes sont debout et nous regardent sans bouger. Ils sont figés comme sur un arrêt sur image. …...

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Image de Le Temps et la chambre

Crayonné au théâtre

mardi 31 janvier 2017

Cette chambre où personne n’est jamais vraiment chez soi

Par Christian Drapron

Longtemps dramaturge à la Shaubühne de Peter Stein, découvert en France par des metteurs en scène de premier plan, tels Claude Régy ou Patrice Chéreau, Botho Strauss semble avoir atteint aujourd’hui, à l’égal de Peter Handke dont André Françon réalisait en avril 2016 Toujours la Tempête, le statut d’auteur classique. C’est le même André Françon qui, vingt ans après Chéreau, remet aujourd’hui en chantier le Temps et la chambre dans la belle traduction – adaptation de Michel Vinaver.

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Image de Le Temps et la chambre

Libération.fr

vendredi 27 janvier 2017

Botho Strauss en pièce détachée

Par Philippe Lançon

Vous êtes deux hommes assis dans une chambre, pour toujours peut-être, mais, comme il n’y en a qu’un qui parle, c’est que vous êtes seul. C’est «un jour aux confins du plus rien». Ni aube ni crépuscule, ni début ni fin. Vous vous appelez Julius si vous parlez, Olaf si vous ne parlez pas. Vous êtes assis dans deux confortables fauteuils de cuir vintage qui étaient peut-être déjà là en 1991, quand Patrice Chéreau créa en France la pièce de Botho...

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