L'Humanité
mardi 18 juillet 2017
Mémoire brûlante de l’esclavage
Par Gérald Rossi
La triste vie de Solitude, née vers 1772. Une belle adaptation du roman dénonciateur d’André Schwarz-Bart....
France
L'Humanité
mardi 18 juillet 2017
Mémoire brûlante de l’esclavage
Par Gérald Rossi
La triste vie de Solitude, née vers 1772. Une belle adaptation du roman dénonciateur d’André Schwarz-Bart....
L'Alchimie du Verbe
samedi 15 juillet 2017
Par Raphaël Baptiste
Les mots ne sont pas fragiles quand ils racontent avec autant de justesse ce que fut la souffrance de plusieurs générations qui vécurent dans les fers, déportés et battus et quand des comédiens portent encore cette parole dans une belle et gravide contemplation, on a l'impression que cette souffrance coule toujours dans nos veines, à jamais sans doute....
Madininart
dimanche 21 mai 2017
« Solitude », digne de sa source littéraire et de son héroïne de légende
Par Christiane Makward
THÉÂTRE « Solitude », adaptation et m.e.s. de Fani Carenco 21 mai 2017 Photo : Celine Chagnas. — Par Christiane Makward — Le décor ressemble à un chantier ou une cour de garage rural: lanterne suspendue, cordages, pneus de poids lourds, gros bidons rouges , vieilles planches empilées formant plateforme, bobines de câbles, caisse, siège décati et deux projecteurs à gauche et à droite. Par la magie des éclairages, de la sonorisation, la vie s’installe, la mort rôde. Ainsi un discret balancement de la lanterne évoquera le tangage du bateau négrier tandis que Bayangumay tente laborieusement d’avaler sa langue.
Toutelaculture
vendredi 12 mai 2017
La Mûlatresse Solitude, une figure de révoltée
Par Bénédicte Gattere
La Mûlatresse Solitude est une pièce qui propose de faire revivre une grande figure de l'Histoire de la Guadeloupe....
African links
lundi 08 mai 2017
Dans les mémoires de l’Histoire
Par Virginie Ehonian
Elle est debout, a l’allure fière et la tête haute, Solitude. Représentée par le sculpteur guadeloupéen Jacky Poulier, la Mûlatresse Solitude est un grand nom de l’histoire.
La grande parade
dimanche 05 février 2017
Solitude : la vibration d'un vécu révolu mais dont la hantise habite tout le décor
Par Catherine verne
Dns une salle de théâtre, on sent sur sa peau grise "les frais ombrages des tamariniers" qui poussent dans les Caraïbes. On pleure ses frères et ses soeurs, enterrés "la tête tournée vers l'Afrique". La scène a lieu au dix-huitième siècle, mais c'est ici et maintenant. On vit avec chacun des noirs montés à bord des négriers, le moment du dernier regard au-dehors et de l'inspiration ultime avant de descendre en cale.
L'alchimie du verbe
dimanche 29 janvier 2017
Le règne de l'intranquillité...
Par Marie Chateau
Toute l’ironie de cette mise en scène repose sans doute sur l’abandon des illusions d’antan : pas plus d’amour que de lyrisme, ni même la recherche attendrie de quelconques circonstances psychologisantes, mais un affront gratuit visant à faire valoir sa position dans l’échiquier social, et surtout conjugal....
Télérama
samedi 21 janvier 2017
Georges Lavaudant adapte Feydeau avec bonhomie et (trop de) bienveillance
Par Fabienne Pascaud
A l'Odéon, le metteur en scène aborde une œuvre du célèbre dramaturge, qui explore à l’envie les hypocrisies et lâchetés conjugales....
Libération.fr
jeudi 19 janvier 2017
Georges Lavaudant ravale "l'hôtel Feydeau"
Par Gilles Renault
A quelques semaines près, on aurait écrit d’Hôtel Feydeau qu’il constituait un spectacle idéal pour les fêtes de fin d’année, car virevoltant, accessible, coloré et drôle (option grinçant). Les guirlandes remisées, il n’y a néanmoins pas prescription et, pour autant que le degré d’exigence ne soit pas démesuré, on repart de l’Odéon le cœur aussi léger qu’on a pu y entrer....
La Croix
mercredi 18 janvier 2017
« Hôtel Feydeau », une ronde trépidante
Par Didier Méreuze
Georges Lavaudant met en scène Feydeau à l’Odéon-Théâtre de l’Europe à travers des extraits de cinq de ses comédies sur le couple....