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Benjamin Chavrier

France

Dernières critiques

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Foud'art

vendredi 18 septembre 2020

Poésie musicale au TGP Saint-Denis

Par Frederic Bonfils

Retiré dans la campagne russe enneigée ou balayée par les vents d’été, Eugène Onéguine est un être « impatient de vivre et pressé de sentir », aimant le luxe et la fête. Tatiana, jeune fille noble, belle et sombre, tombe amoureuse de lui dans une forme de pureté ardente et tourmentée. Insensible, indolent, il l’écondui...

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La Parafe

vendredi 18 septembre 2020

Des mondes à partir de quelques mots

Par Floriane Toussaint

Le Théâtre Gérard Philipe ouvre sa saison avec Un Conte de Noël de Julie Deliquet, nouvelle directrice des lieux, mais aussi avec la reprise d'Onéguine, spectacle créé il y a un an et demi au même endroit par Jean Bellorini, son prédécesseur. Onéguine s’inscrit dans la continuité des précédents spectacles de Bellorini, et tout particulièrement de ses Karamazov d’après Dostoïevski (spectacle créé à Avignon en 2016). D’abord parce que Pouchkine, po...

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Les Inrocks

vendredi 17 mai 2019

Un “Onéguine” murmuré à l'oreille des spectateurs

Par Fabienne Arvers

Onéguine quitte la ville pour le calme de la campagne, mais se retrouve au cœur d’un marivaudage cruel. Théâtral autant que musical, le dispositif imaginé par Jean Bellorini offre une expérience intime de l’œuvre de Pouchkine....

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Délibéré

dimanche 14 avril 2019

Dingues d'Onéguine

Par René Solis

Au TGP de Saint-Denis, Jean Bellorini adapte "Eugène Onéguine" de Pouchkine dans la traduction d'André Markowicz. Magnifique, dit René Solis...

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Le Bruit de Bruxelles

jeudi 04 avril 2019

L'amour à mort

Par Julia Garlito

Lui, c’est Harry Kilbourne, il travaille en tant qu’interne dans un hôpital de la Nouvelle-Orléans. Sa vie est plutôt médiocre, mais voilà qu’apparaît Charlotte Rittenmeyer. Charlotte est une femme mariée menant une vie plutôt bourgeoise, elle a deux enfants, est totalement rebelle et se dit artiste. Leur rencontre révèle une passion amoureuse poussée à l’extrême, au point qu’elle va quitter mari et enfants pour

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Le Monde.fr

mercredi 27 mars 2019

Faire entendre Onéguine, tout un art

Par Brigitte Salino

A Saint-Denis, Jean Bellorini propose aux spectateurs d’écouter le poème de Pouchkine au casque. Sauf une fois, brièvement, pour Les Frères Karamazov, de Dostoïevski, Jean Bellorini (37 ans) n’a jamais utilisé de vidéo dans ses mises en scène. Le directeur du Théâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, aime le théâtre simple, qui laisse les spectateurs s’inventer leurs images. Il aime aussi la littérature, passionnément, allégrem...

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Sceneweb

lundi 25 mars 2019

Onéguine en un murmure

Par Vincent Bouquet

A l’aide d’un dispositif scénique et sonore particulièrement soigné, Jean Bellorini transforme le roman de Pouchkine en un conte poétique susurré à l’oreille des spectateurs. Un moment de théâtre hors du temps....

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Un certain regard sur la culture

mercredi 09 janvier 2019

Mourir d'aimer. Séverine Chavrier et la passion faulknerienne

Par Guillaume Lasserre

Retour sur les « Palmiers sauvages » de Séverine Chavrier à l’occasion de son escale au Monfort à Paris. La metteuse en scène entraine le public dans la frénésie amoureuse qui s'empare de Charlotte et Harry. De la fuite à la chute, cette passion sans retour possible déborde et engloutit tout. Une tragédie moderne sur la folie de l'amour réprimé par la morale bourgeoise....

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culturopoing

lundi 10 décembre 2018

“Les Palmiers sauvages” - Tristes topiques

Par Xavier Prieur

Dans une chorégraphie incandescente, Séverine Chavrier s’empare avec précision et psychologie du roman Les Palmiers sauvages de William Faulkner pour déclarer son amour des passions excessives et de l’anticonformisme....

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Image de Nous sommes repus mais pas repentis (Déjeuner chez Wittgenstein)

Le Monde.fr

vendredi 30 mars 2018

Séverine Chavrier et Thomas Bernhard cassent la baraque

Par Fabienne Darge

Ça craque, ça crisse, ça casse les oreilles et ça scie les nerfs que de marcher sur les pots cassés de l’histoire familiale, et de l’Histoire tout court. Tout l’excellent spectacle de Séverine Chavrier, inspiré par Déjeuner chez Wittgenstein, de Thomas Bernhard, est déjà là, dans ce début sur un plateau jonché de vaisselle brisée. Et tout son humour d’une noirceur sans appel est déjà dans son titre : Nous sommes repus mais pas repentis....

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