vendredi 18 avril 2014
Myriam Boyer réussit à ressusciter « l’inoubliable inoubliée »
Par Mireille Davidovici
Riviera d’Emmanuel Robert-Espalieu, mise en scène de Gérard Gélas C’est toujours un plaisir de revoir Myriam Boyer sur une scène de théâtre. Elle s'y fait trop rare, malgré ses deux Molière (en 1997, pour Qui a peur de Virginia Woolf, d’Edward Albee, et en 2008, pour La vie devant soi de Romain Gary). La revoilà, en Fréhel, grande chanteuse au destin malheureux, de son vrai nom Marguerite Boulc'h née en 1891, qui disait si bien le Paris popula...