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Dernières critiques
Mediapart
mercredi 17 novembre 2021
« Temps de Trou du Cul/ Ferme ça là/ Crasse trou »
Par Jean-Pierre Thibaudat
L’acteur Antoine Mathieu, sous le regard d’Alain Françon s’empare de « Kolik » l’étonnante colique verbale de l’auteur allemand Rainald Goetz....
Sceneweb
lundi 15 novembre 2021
Kolik, un soliloque sous influence
Par Vincent Bouquet
Malgré la direction d’Alain Françon, Antoine Mathieu peine à tirer profit du monologue déstructuré et nébuleux de Rainald Goetz. En ce mois de novembre, on pourrait croire qu’Alain Françon a le don d’ubiquité. Alors que sa Seconde surprise de l’amour triomphe au Théâtre de l’Odéon, portée par une troupe étincelante et la limpidité de sa lecture de...
La gazette du théâtre
dimanche 10 janvier 2021
Au fil d’une parole associative et logorrhéique
Par P. Olivier
Un homme soliloque. Il semble, à première écoute, divaguer au fil d’une parole associative et logorrhéique, une diarrhée verbale pour suivre le titre, Kolik. Mais rapidement, on constate que son discours est d’une Konstruction, d’un Kohérence implacable......
Libération.fr
jeudi 26 octobre 2017
Ghetto de Varsovie, échos d'enfance
Par Anne Diatkine
David Lescot reprend au Déjazet à Paris «Ceux qui restent», d’après les témoignages de deux Juifs polonais. Une pièce touchante et sans pathos....
Un fauteuil pour l'orchestre
mercredi 25 octobre 2017
« Ceux qui restent », ce sont ceux qui n’y sont pas restés.
Par Corinne François-Denève
Qui ont réussi, enfants miraculés, à fuir le ghetto de Varsovie, avant l’extermination, avant le soulèvement de 1943 et sa répression. Ceux qui restent, ce sont aussi des derniers témoins, dans un siècle qui n’est plus celui de l’événement. Ils n’ont pas souvent parlé, se sentant peut-être coupables de ce miracle de la survie, alors que tant sont morts ; ils se sont construits, ou reconstruits, ailleurs, devenant radiographe à Londres pour l’une,...
mlascene
mardi 24 octobre 2017
Par Marie-Laure Barbaud
Comment mettre en scène le précieux témoignage de deux rescapés du Ghetto de Varsovie? David Lescot répond par le dénuement. Sur le plateau du Théâtre Déjazet, l’artifice est vidé de ses oripeaux. En avant-scène, deux chaises, l’une en retrait de l’autre, dans une lumière égale et deux acteurs, une femme et un homme ( Marie Desgranges et Antoine Mathieu) qui portent la parole de « ceux qui restent » avec la volonté de la livrer au plus près de...
Coup de théâtre
lundi 23 octobre 2017
David Lescot au Théâtre Dejazet : toute une histoire
Par Judith Sibony
On a beaucoup parlé, ces derniers temps, d’éventuels rapprochements entre le monde du théâtre subventionné et celui des théâtres privés. En juillet dernier, la directrice générale de la création artistique (DGCA) au ministère de la Culture, Régine Hatchondo, a même demandé aux directeurs des Centres Dramatiques Nationaux d’abattre le « mur de Berlin » qui les sépare du privé....
Comme il vous plaira
samedi 21 octobre 2017
7 et 12 ans au moment des faits.
Par Judith Policar
Deux chaises sont posées sur le plateau, l’une plus à l’avant-scène, l’autre plus en retrait. C’est donc un plateau dépouillé, vide de tous les artifices que le théâtre peut apporter.
Le Point
vendredi 20 octobre 2017
"Ceux qui restent" : la mémoire fragile des enfants du ghetto de Varsovie
Par Olivier Ubertalli
Le metteur en scène français David Lescot plonge dans l'histoire de deux survivants du ghetto de Varsovie. Un texte puissant et captivant sur la mémoire....
Crayonné au théâtre
mardi 31 janvier 2017
Cette chambre où personne n’est jamais vraiment chez soi
Par Christian Drapron
Longtemps dramaturge à la Shaubühne de Peter Stein, découvert en France par des metteurs en scène de premier plan, tels Claude Régy ou Patrice Chéreau, Botho Strauss semble avoir atteint aujourd’hui, à l’égal de Peter Handke dont André Françon réalisait en avril 2016 Toujours la Tempête, le statut d’auteur classique. C’est le même André Françon qui, vingt ans après Chéreau, remet aujourd’hui en chantier le Temps et la chambre dans la belle traduction – adaptation de Michel Vinaver.