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Dernières critiques
Première Loge
vendredi 05 août 2022
« Et je ne chanterai pas Casta Diva… »
Par Hervé Casini
Entre mythe et réalité, Callas-Machine, « partition pour actrice » écrite par Filippo Bruschi, donne à voir et à entendre une intelligente évocation de celle qui, quarante cinq après sa mort, demeure toujours une énigme (...) Un texte à découvrir très vite et une performance scénique à reprogrammer de toute urgence !...
Un Fauteuil pour l'orchestre
mercredi 29 juin 2022
Par Nicolas Thevenot
"Cette partition a quelque chose de free jazz, jouant des cuts, cherchant ses harmoniques au-delà du naturel, secouant la matière du récit (...) où l’on peut voir apparaître une actrice, Aliénor de Mezamat, tenant haut et ferme la couronne de la diva. Elle est belle cette actrice, dans le contrejour de l’aveuglante Callas."...
Les Trois Coups
dimanche 27 novembre 2016
Obscurs dans la nuit solitaire
Par Céline Doukhan
L’Atelier Hors-champ signe une adaptation à la fois très littéraire et suprêmement visuelle du roman de Virginia Woolf.... Six personnages sont réunis autour du souvenir d’un septième, Perceval, décédé dans un accident de cheval. À partir de cette situation se déploient des fragments de monologues intérieurs. Leur dimension littéraire, leur caractère souvent abstrait, l’absence de dialogue entre les personnages, mais aussi la pénombre continue, plongent d’emblée le spectateur dans une ambiance expérimentale, hors du temps.
Ouest-France.fr
mercredi 23 novembre 2016
Par Florence Lambert
Tout semble créé pour écouter la musicalité du texte, en savourer les mots et les pensées qui regorgent de nature, des feuilles des arbres, des vagues, des oiseaux, des roses et des violettes......
Marsupulamina
jeudi 06 octobre 2016
Au centre de la vie et du monde.
Par Martine Horovitz Silber
On est au centre d'un tourbillon de lenteur, d'évocations, de sensations, de senteurs, d'images, de visions, de fulgurances. Au centre de la vie et du monde....
hottello
vendredi 30 septembre 2016
Au bord de soi et de l’autre....
Par Véronique Hotte
Un magnifique éloge du hasard d’être ici et maintenant au bord de soi et de l’autre.... Les Vagues de Virginia Woolf s’annonce comme un récit que se partagent six amis, pour un repas autour de l’absence d’un énigmatique septième dénommé Perceval. Ces voix intérieures revisitent l’enfance et la vie des uns et des autres, tels les mouvements maritimes qui vont et viennent, selon l’attraction régulière de la lune.%%%
Toutelaculture
vendredi 23 septembre 2016
"Les Vagues" de Virginia Woolf dans une magnifique et inspirée adaptation théâtrale.
Par David Rofé-Sarfati
Six amis sont réunis pour un repas autour de l’absence de Perceval. Leurs voix recomposent le récit de leur propre biographie, de l’enfance à l’âge mûr. Ces monologues intérieurs dont les motifs et les courbes se succèdent et s’entrecroisent, composent la variation continue des Vagues.
Mediapart
vendredi 11 mars 2016
Tentative de mouvement scénique du texte de Virginia Woolf
Par Jean-Pierre Thibaudat
la plus convaincante tentative d’adaptation de ce texte qu’il m’ait été de voir jusqu’à aujourd’hui (....) il y a des violences, des accalmies, du pianissimo, des rires qui n'en sont pas, des trilles, des bruissements d’oiseaux, des dialogues intérieurs qui affleurent aux lèvres....
Un Fauteuil pour l'orchestre
mercredi 27 mars 2013
Réflexion sur le pouvoir et l’hystérie sanglante
Par Denis Sanglard
Pascale Nandillon racle l’oeuvre de Shakespeare qu’elle dépiaute jusqu’à en faire gicler les nerfs, jusqu'à nous faire grincer les dents. Mise en scène à vif d’un texte et réflexion sur le pouvoir et l’hystérie sanglante où le meurtre est la règle. Expérimentation qui fragmente l’oeuvre et la concentre sur le couple infernal (...) ce théâtre d’ombres sanglantes semble s’inventer sous nos yeux....
l'Obs
dimanche 24 mars 2013
Par Manuel Bili et Sylvia Duverger
Pour nous, le premier point de convergence de Macbeth et d’Apocalypse now était le statut du soldat : légitime quand il tue au nom de la guerre, illégitime quand il tue en son nom propre. Décoré quand il tue « bien », décapité quand il tue « mal ». De ce point de vue, le colonel Kurtz dans le film de Coppola dénonce parfaitement les rouages d’une violence structurelle qui a fait de lui et de ses soldats des machines à tuer...