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Dernières critiques
L'Insensé
dimanche 01 décembre 2019
Autopsie d’une mémoire ouvrière
Par Jérémie Majorel
Pendant une heure dix, au lieu du huis-clos attendu, se déploie le monologue intérieur de Sylvie Meyer, qui reste cantonnée dans son espace mental. Celle-ci revit les scènes marquantes de son enfermement et son enfermement dans ces scènes qu’on imagine vouées à être ressassées indéfiniment, à l’instar de ces « je m’en vais » répétés en boucle par son mari au moment de la quitter, elle déjà étrangement détachée, comme absente à elle-même....
I/O Gazette
samedi 09 novembre 2019
Par Jean-Christophe Brianchon
Dix ans après son arrivée à la Comédie de Valence et avant son départ pour l’Opéra de Lyon, Richard Brunel dit au revoir à son public et crée « Otages ». Une pièce de Nina Bouraoui qui concrétise l’idée que cette auteure se fait de l’écriture : « Un appareil à donner l’éternité. » Mais l’éternité de quoi ? Ou plutôt,......
Sceneweb
lundi 04 novembre 2019
Soir de Première avec Anne Benoît
Par Stéphane Capron
Cette semaine, Anne Benoît incarne Astrid Meyer, déléguée syndicale dans Otages, la pièce de Nina Bouraoui, dernière création de Richard Brunel à la tête de La Comédie de Valence. Voici son interview Soir de Première....
Atlantico.fr
vendredi 16 mars 2018
"Dîner en ville" : Christine Angot, sans filtre, mais pour le meilleur
Par Dominique Poncet
On aime ou on n'aime pas du tout Christine Angot, mais là il faut reconnaître qu'avec sa pièce "Dîner en ville",elle se livre avec une telle authenticité qu'elle en devient émouvante dans ses interrogations et ses blessures....
Télérama.fr
vendredi 16 mars 2018
Christine Angot au théâtre : n’est pas dramaturge qui veut
Par Fabienne Pascaud
Malgré une superbe Emmanuelle Bercot, le “dîner en ville” imaginé par la romancière et mis en scène par Richard Brunel fait pâle figure en terme de dialogue théâtral. ...
Le Monde.fr
vendredi 16 mars 2018
Un dîner en ville qui transpire l’entre-soi
Par Brigitte Salino
Cécile est la plus grande actrice du théâtre en France. Elle vient d’un milieu privilégié ; elle est passée par le Conservatoire ; elle vit avec Stéphane, Martiniquais, ingénieur du son au chômage. Un soir, tous deux vont dîner chez Régis, qui travaille dans la mode. Il y a là Marie, professeure de médecine, et Florence, directrice d’une scène nationale en banlieue....
20minutes.fr
mercredi 14 mars 2018
«Dîner en ville»: Derrière Christine Angot, chroniqueuse chez Laurent Ruquier, il y a une artiste
Par Laure Beaudonnet
On a rencontré Christine Angot à l’occasion de « Dîner en ville » au théâtre de la Colline…...
lesechos.fr
mardi 13 mars 2018
« Dîner en ville », le bal masqué social de Christine Angot
Par Vincent Bouquet
Comme Flaubert se reconnaissait en saint Antoine ou en Frédéric Moreau, il y a sans doute chez Christine Angot une part de chacun des personnages......
Madame Figaro
lundi 12 mars 2018
Emmanuelle Bercot et Christine Angot : humaines, pas mondaines
Par Paola Genone
L’actrice-réalisatrice primée à Cannes incarne l’héroïne de Dîner en ville, la nouvelle pièce sans concession de l’incisive romancière. Échange non formaté entre deux femmes qui avancent la tête haute....
Un fauteuil pour l'orchestre.com
dimanche 11 mars 2018
Les méchants sont méchants et le gentil est gentil.
Par Nicolas Brizault
Une pièce que l’on attend forte, intelligente ou tout du moins intéressante et bien écrite. Le combat entre les classes super star, faux-cul, mauvaises et aux comptes en banques sans soucis et les autres. Le tout à travers une sauterie chez les premiers, où un « dernier » se retrouve, petit copain d’une comédienne parisienne connue et reconnue. Le sujet est déjà simple, mais on frétille justement, se disant que Christine Angot dont on parle tant, devrait faire rebondir tout ça, nous étonner, foutre tout par terre, nous remettre les idées en place !