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Michel Chevallier

France

Dernières critiques

Image de Terebrante

I/O Gazette

lundi 01 novembre 2021

Angélica Liddell perd la parole

Par Marie Sorbier

Angélica Liddell est une grande performeuse certes, peut-être l’une des plus engagées corporellement sur les scènes actuelles, mais elle est avant tout une auteur. Ce qui est sous-tendu dans ses précédents spectacles dont le très marquant « Liebestod » présenté au festival d’Avignon en juillet 2021, c’est qu’au-delà d’un sens du plateau hautement esthétique et......

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Sceneweb

dimanche 31 octobre 2021

Terebrante, le musée des douleurs d’Angélica Liddell

Par Vincent Bouquet

Conçue comme un appendice autonome de son magistral Liebestod, la dernière création de la performeuse espagnole, donnée au CDN d’Orléans, n’en a malheureusement ni le souffle, ni la puissance. Habituellement, arrive toujours un moment où Angélica Liddell s’y colle, où, au beau milieu de son enchaînement de tableaux, généralement remarquables, la performeuse espagnole s’avance, se […]...

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L'Oeil d'Olivier

samedi 30 octobre 2021

Le silence assourdissant d’Angelica Liddell

Par Olivier Fregaville-Gratian d’Amore

Au CDN d’Orléans, Angelica Liddell présente en première mondiale, Térébrante, sa toute dernière création. Creusant toujours un peu plus son rapport à la mort et à la douleur, la fière et mystique Castillane invite à un spectacle sans parole, un brin déroutant et étrangement détonnant....

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Image de Una costilla sobre la mesa : Madre (Une côte sur la table : Mère)

Revue Études

lundi 03 février 2020

Enterrer la terre

Par Yvon Le scanff

Madre, sudiste et tellurique, se déploie selon une liturgie funèbre jusqu’à la consécration de l’image de la mère à travers l’expression d’une longue plainte (« Si seulement ton ventre avait pu être ma tombe… ») puis l’exécution de rites (dont celui des Empalaos de Valverde de la Vera) et de cérémonies (chants, danses et transes). Et du cœur de cet enterrement à vif surgissent ça et là de magnifiques poèmes en prose......

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Image de Una costilla sobre la mesa : Padre (Une côte sur la table : Père)

Revue Études

lundi 03 février 2020

Un corps à corps avec le père

Par Yvon Le Scanff

Pour le père, ce sera une analyse clinique de cette communication de corps à corps dans la confusion des sentiments, à l’aide de certaines analyses de Gilles Deleuze issues de sa "Présentation de Sacher-Masoch". Padre, « froid et cruel » pour reprendre son sous-titre deleuzien, comme les couleurs de l’hospice, inverse en quelque sorte les données : non plus la vie dans la mort (Madre) mais bien plutôt la mort dans la vie, jusqu’au bout......

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Crayonné au théâtre.

dimanche 02 février 2020

"Autour d'une mère"

Par Christian Drapron

"Autour d'une mère" (Madre) c’était le titre du spectacle salué par Antonin Artaud que Jean Louis Barrault avait tiré de Tandis que j’agonise . Sans doute n’est-ce pas par hasard que, pour ce dernier spectacle, Angélica Liddell se réfère d’entrée de jeu au même Faulkner. Mais, comme toujours chez elle, la citation littéraire se double d’une référence autobiographique ; « Je viens de brûler mes parents, un corps, puis l’autre à trois mois d’écart....

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Un Fauteuil pour l'Orchestre

mardi 21 janvier 2020

Le chagrin fait parfois perdre pied

Par Nicolas Brizault

Angélica Liddell présente au théâtre de La Colline deux spectacles en alternance, Una costilla sobre la mesa : Madre et Una costilla sobre la mesa : Padre. C’est Madre dont nous allons parler ici, le thème est quasiment le même, la perte d’un parent. À trois mois d’intervalle le père, la mère meurent. Et explosent la douleur, le désespoir qui peuvent en ressortir. Dans Madre une fille perd sa mère et se lamente, pleure, crie, se donne des coups....

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Le Monde.fr

lundi 20 janvier 2020

L’ode vibrante d’Angélica Liddell à ses parents

Par Brigitte Salino

Angélica Liddell fait de sa vie une œuvre. Elle se met en scène dans des spectacles qui peuvent être exceptionnels ou décevoir, mais qui toujours nous ramènent à l’essence du théâtre : la présence réelle sur un plateau, qui est le seul endroit où les morts reviennent saluer....

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Le Bruit du off tribune

lundi 20 janvier 2020

Angélica Liddell, passionaria ibérique

Par Culturieuse

Au centre de ces six trônes recouverts de tissu, elle s’assied et entame un monologue vibrant en espagnol. Son désespoir s’élève crescendo tandis qu’elle s’adresse à sa mère morte, en fille n’ayant pas su l’aimer, en fille coupable dont jailli enfin la pitié, scandant ses paroles à coups de pied, frappant sa poitrine de ses poings.

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Télérama.fr

lundi 20 janvier 2020

Si l’humain trépasse, l’art est éternel et ne cesse de renaître.

Par Joelle Gayot

Au-delà de la beauté macabre d’une fin de vie reconstituée qui emprunte au cérémonial ses gestes énigmatiques, au-delà de l’implication de l’interprète Angelica Liddell, de la sidération face aux co......

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