A bout de sueurs : La genèse de l’œuvre
Accompagnement du Prix Sony Labou Tansi 2017.
Voir le sommaire du dossier pédagogique
1. Hakim Bah s’explique
Hakim Bah s’est expliqué sur l’origine d’À bout de sueurs :
ou utiliser le lien
Quels sont les « déclencheurs » de son envie d’écrire ?
En quoi posent-ils, de plusieurs manières, la question des relations entre Afrique et Europe, France plus particulièrement ?
2. Une écriture « chorale » ?
Les modalités d’écriture de la pièce ont été particulières, avec des étudiants, en « écriture de plateau ». Des précisions sont disponibles avec ce lien
Que pensez-vous de cette manière d’écrire ? Cette écriture « chorale » se retrouve-t-elle dans le résultat ?
3. Deux faits divers
Hakim Bah s’inspire donc pour sa pièce de deux faits divers, notamment de la mort de deux jeunes Guinéens dans un train d’atterrissage à la fin des années 90. Outre une page wikipédia, leur histoire est racontée sur plusieurs sites :
- Ils ont laissé une lettre qui a eu un retentissement important.
- Yaguine et Fodé ont été le sujet de deux films, et d’une chanson de la guinéenne Sia Tolno :
Faites une recherche sur la manière dont ils sont évoqués depuis leur disparition. Recherchez l’origine des coupures de presse sur ce fait divers, reprises parfois textuellement par l’auteur (p. 56-59).
Qu’est-ce qui montre, dans le clip de Sia Tolno entre autres, que ces deux adolescents sont devenus des symboles ? Comment leur destin entre-t-il en résonance avec l’actualité ?
Après lecture de l’œuvre, on pourra notamment s’interroger sur ce qui explique que la « voix » des enfants n’intervienne que tardivement (p. 47), et la manière dont ils sont évoqués auparavant par leurs parents.
Ces fonctionnalités sont réservées aux abonnés
Déjà abonné,
Je me connecte
–
Voir un exemple
–
Je m'abonne
Ces documents sont à votre disposition pour un usage privé.
Si vous souhaitez utiliser des contenus, vous devez prendre contact avec la structure ou l'auteur qui a mis à disposition le document pour en vérifier les conditions d'utilisation.