Écrit en 2009 - français
Présentation
L’Un et L’Autre sont à bord d’un bateau imaginaire. On devine en filigrane Homère, les îles grecques, la Méditerranée… Cette mer toujours présente dans Je suis le vent est à l’image de la vie et de la mort, complices inséparables. Sur le pont, les personnages bégaient, s’essoufflent, s’interrogent et nous interrogent. Comment parler de l’absence sinon sur le mode de l’ellipse ?
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