Par Jean-Pierre Thibaudat
jeudi 08 mai 2014
Benjamin Abitan ( Mise en scène )
Le Caravage, qui a bu trop de café, cherche comment peindre son Ecce Homo et finit par mettre ses modèles un peu mal à l’aise. Sarah Bernhardt vient se faire tirer le portrait par Nadar sous les yeux de sa femme paralytique, puis revient quarante ans plus tard dans un cercueil.
À l’issue de sa performance inspirée du Désespéré de Courbet, Ludo et son public ont un débat passionnant.
Un cascadeur métaphysique du nom d’Yves Klein – en réalité un simple intermittent du spectacle – propose de se jeter dans le vide.
Des tableaux ; des fictions ; des méditations profondes sur le délicat problème de l’art ; des dialogues entre l’artiste et le modèle, l’oeuvre et le spectateur.
Et bien d’autres choses encore.
« Vous ne pourrez plus sortir de cette forêt. »
Par Jean-Pierre Thibaudat
jeudi 08 mai 2014
Par Laura Plas
mercredi 30 avril 2014