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Accueil de « Père »

Père

+ d'infos sur le texte de August Strindberg traduit par Arthur Adamov
mise en scène Arnaud Desplechin

On en parle dans la presse et sur le web

Mlascene

Image de la critique de Mlascene

samedi 05 novembre 2016

Chuchoté et poignant

Par Marie-Laure Barbaud

Écrit en 1887, le mélodrame d’August Strindberg, met en scène un capitaine de cavalerie, érudit et athée, qui s’oppose à sa femme sur l’éducation de leur fille. Il souhaite que celle-ci devienne institutrice ce qui implique qu’elle quitte la maison et aille en ville. La mère, elle, veut en faire une artiste et aspire à la garder près elle. Cette divergence fait émerger tous les ressentiments et toutes les frustrations larvés du couple. Le capitai...

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Mediapart

Image de la critique de Mediapart

lundi 05 octobre 2015

Les nouveaux habits de la Comédie Française

Par Jean-Pierre Thibaudat

Pour la salle Richelieu, le premier geste d’Éric Ruf a été de se tourner vers le cinéaste Arnaud Desplechin qui signe sa première mise en scène théâtrale, « Père » de Strindberg. Une pièce plus rarement montée que « Mademoiselle Julie » ou « La Sonate des spectres » ou encore « La danse de mort » et même du « Chemin de Damas » dont Jonathan Châtel a créé l’été dernier une version très personnelle sous le titre « Andreas »...

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Image de la critique de Théâtre au Vent

samedi 26 septembre 2015

« Prouves donc que tu es le père »

Par Evelyne Trân

Père, c'est un titre fort sobre pour une pièce qui peut résonner comme une interjection ou même une interrogation . A travers ce seul mot, c'est toute une société patriarcale avec tous ses fantômes , ses revers, ses boucliers de lois, apparemment inamovible, qui peut commencer à trembler.

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Image de la critique de PublikArt

samedi 26 septembre 2015

L'enfer c’est le couple

Par Amaury Jacquet

Pari réussi où d’un regard captif, toujours juste, le cinéaste scrute et fait entendre au plus près de l’instant, l’intensité intrinsèque du texte dont le jeu sobre et ciselé des comédiens sert à merveille la menace sourde et aliénante du drame....

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Image de la critique de lesechos.fr

jeudi 24 septembre 2015

Le « Père » tragique d'Arnaud Desplechin

Par Philippe Chevilley

Arnaud Desplechin fait des premiers pas remarqués au théâtre, en mettant en scène dans la maison de Molière une pièce inouïe : « Père » d'August Strindberg (1887) - le combat mortel entre un homme et une femme pour garder le pouvoir sur leur fille, sur leurs âmes ravagées par l'amour-haine. Le réalisateur a gardé le meilleur du cinéma (sens de l'espace, du mouvement, des climats) en s'attachant à...

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Image de la critique de Libération

jeudi 24 septembre 2015

Crise d e "Père" au Français

Par Philippe Lançon

Pour ses débuts au théâtre, Arnaud Desplechin met en scène un impeccable Michel Vuillermoz dans une pièce d’August Strindberg hélas trop datée. La plupart des dramaturges qui ont mis l’inconscient sur le tapis juste avant l’essor de la psychanalyse ont vieilli : en jouant leurs névroses, on bat la poussière - celle sous le divan. Les personnages ont l’air de pionniers ou de convertis qui racontent la découverte d’un territoire ou d’une religion,...

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Image de la critique de Lexpress

jeudi 24 septembre 2015

Desplechin réussit haut la main son entrée au Français

Par Laurence Liban

Pour sa première mise en scène de théâtre, Arnaud Desplechin a choisi Père, de Strindberg. Une évidence de la part de ce cinéaste de l’intime et du secret, scrutateur acéré du couple et de la famille. Disons le tout de suite, c’est une grande réussite, profonde et fine, fondée sur une compréhension aigüe du théâtre, un amour profond des acteurs et une grande humilité....

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Image de la critique de Sceneweb

mercredi 23 septembre 2015

La simplicité d’Arnaud Desplechin

Par Stéphane Capron

La nouvelle mise en scène de Père d’August Strindberg marque la première pierre de l’ère Eric Ruf à la tête de la Comédie-Française. La saison 2015/2016 débute par trois spectacles aux trois regards différents (du Rock au Studio, des marionnettes au Vieux-Colombier et un classique). Dans la salle Richelieu, le cinéaste Arnaud Desplechin signe sa première mise en scène au théâtre en toute simplicité....

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Image de la critique de Le Monde.fr

mercredi 23 septembre 2015

Le vertige d’un amour en déliquescence

Par Brigitte Salino

Son spectacle est magnifique. Il rend hommage à la fois à August Strindberg, à Ingmar Bergman et aux acteurs. Il suffit parfois de pas grand-chose pour déplacer le regard et faire apparaître une pièce sous un autre jour. Avec Arnaud Desplechin, ce pas grand-chose s’appelle la simplicité. Une simplicité née du choix d’une traduction, la plus inexorable, celle d’Arthur Adamov, et d’une lecture intime de la pièce....

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Image de la critique de Toute la Culture

mercredi 23 septembre 2015

Un Strindberg lacrymal et corseté

Par Christophe Candoni

A la Comédie-Française, Arnaud Desplechin signe sa première mise en scène de théâtre et s’entoure de comédiens prestigieux de la troupe qu’il connaît bien, notamment Michel Vuillermoz. Le cinéaste restitue la cruauté terrible de la pièce en exacerbant toute sa douleur poignante mais sans assez prendre en compte sa portée guerrière et explosive....

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