Il faut se méfier des feux de la rampe, ils peuvent brûler ! Jean-Marie Galey alias Ferdinand Quetsch sera l’objet de lutte de pouvoir. Il croisera la Grande Emma des Rillettes, le bouillant Pédalilondas et le terrible Siméon Maîne, son metteur en scène, metteur en abîme. Mais dans tout cela, il y a un amour indestructible pour le théâtre....

Lire l'article sur Patrimoine de France

Le théâtre aime parler du théâtre : histoires d'acteurs, histoires d'auteurs, histoires de directeurs... Jean-Marie Galey a composé un pamphlet à l’ancienne, au style imagé et parodique, où les noms sont tous remplacés par des sobriquets, à commencer par le sien......

Lire l'article sur Webtheatre.fr

Ce spectacle, très bon, nous tient en haleine. Nous voulons en savoir plus sur cette aventure… Et même si un livre existe, on aimerait voir la suite sur scène...

Lire l'article sur aubalcon.fr

Jean-Marie Galey a été pensionnaire du Français dans les années 2000. Il nous raconte son expérience malheureuse au sein de cette troupe. Le spectacle commence : il est au cinéma. Le comédien bouge au rythme d’un vieux film, les images sautent un peu. Puis, il se retrouve dans un bus qui l’emmène à la Comédie-Française.

Lire l'article sur Comme il vous plaira

Nos premiers coups de coeur du Off : « Ma Comédie Française » au Petit Louvre. Le In et le Off sont au coude à coude pour interroger le monde sous tous ses aspects. Jean-Marie Galey est émouvant et coquin. Auto-fiction brillante et très drôle Dirigé subtilement par Teresa Ovidio. Le comédien virevolte entre les mots et les situations, instillant dans les situations les plus noires une tendresse ironique et profonde. Artistik Rezo - 07/2017...

Lire l'article sur Artistikrezo