: Trois questions à Zabou Breitman
Pourquoi avez-vous choisi ce texte de Lydie Salvayre ?
Ce texte, je le connais depuis dix ans. Caroline Gonce me l’a fait lire
alors que je venais de lui faire lire moi-même La compagnie des spectres
de la même Lydie Salvayre.
Le ton, la cruauté, l’implacable situation, la tragédie sous les rires, le
moment, cette remise de prix dans le chaos, la rencontre avec la terrible
actualité des entreprises, tout autant d’éléments qui m’ont persuadée
depuis longtemps que ce roman est une matière inouïe pour
le théâtre.
Quels seront vos grands axes de mise en scène ?
L’axe de la mise en scène me fait à peu près le même effet que la peau
du personnage.
Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’à la fin il y aura une chenille. Le
reste…
Quelle est l’oeuvre (film, arts plastiques, livre…) qui vous a récemment marquée et pourquoi ?
BW de Lydie Salvayre, Michel Jonasz sur scène, des toiles de Bruno Bressolin, représentant des visages de la bande à Bonnot sur de vieux plans de Paris, et le merveilleusement humain Cantique de l’Apocalypse joyeuse d’Arto Passilina.
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