mercredi 22 juillet 2015
Un passage..
Par Raphaël Baptiste
Brisée par des élans trompeurs, la vie s’écoule et ne retient aucune force, qu’elle laisse disparaître à la lueur du jour sans jamais pouvoir la retenir, cette force, c’est la candeur et la violence de l’écrivain à l’œuvre, qui s’immole sans jamais pouvoir faire tomber la dernière goutte de son sang, dont l’écriture tarit l’inconsistance de sa chair.