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Accueil de « Le Moche »

Le Moche

mise en scène Nathalie Sandoz

On en parle dans la presse et sur le web

Rue du Théâtre

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dimanche 15 janvier 2017

Miroir, mon moche miroir

Par Cécile Strouk

L’affiche de cette pièce envoie un message multiple et contradictoire : sur un visage plutôt agréable est superposé un code-barres puis un titre, « Le Moche ». Coup marketing réussi pour l'adaptation d'une création de l'Allemand Marius von Mayenburg qui interroge et dénonce les paradoxes laids de l’humanité....

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L'Humanité.fr

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samedi 14 janvier 2017

Oh ! que cette société est donc « Moche »

Par Gérald Rossi

Nathalie Sandoz met en scène une farce signée Mayenburg qui pointe la dérive d’une société peinant à reconnaitre chacun pour ce qu’il est, jusqu’à produire de dangereux clones qui excluent les autres… Dans un décor blanc de clinique à perdre le moral, Nathalie Sandoz met en scène « Le moche », écrit en 2008 par Marius vonMayenburg, une fable amère sur le monde, contée par cet auteur allemand de 45 ans. L’argument est plaisant, quoique pénible en...

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le-coryphee.com

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vendredi 13 janvier 2017

« Miroir, Miroir...»

Par Julia Bianchi

C’est avec causticité et cruauté que Marius Von Mayenburg, auteur allemand né en 1972, livre sa vision de notre société. Omnubilés par le résultat et la performance, les individus qui la composent, perdent leur identité au profit du système. L’altérité n’est pas acceptée confinant ainsi l’être humain dans un narcissisme qui le conduira à sa perte....

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Théâtre au Vent

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vendredi 13 janvier 2017

Une sorte de conte moderne universel

Par Evelyne Trân

La pièce de Marius von Mayenburg fait vraiment penser à une fable, une sorte de conte moderne universel auquel nous pourrions rattacher l’histoire de Riquet à la Houppe et certainement bien d’autres....

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Théâtreactu

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mardi 10 janvier 2017

Fenêtre sur le monde

Par Paula Gomes

Un enchaînement de situations absurdes et drôles, de manipulations en tout genre, le parcours d’un homme ordinaire dans une société de consommation régie par les dilktats de la beauté et du pouvoir...

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La Grande Parade

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mardi 10 janvier 2017

Question existentielle de l’homme coincé entre l’autre et lui

Par Philippe Delhumeau

Nathalie Sandoz, metteure en scène neuchâteloise, ne s’embarrasse pas de faux-semblants dans la traduction d’écriture de Mayenburg. Potentiel et essentiel concentrent le jeu des comédiens dans une mécanique scénique articulée sur un plateau surmonté d’une structure de panneaux translucides offrant des perspectives multiples. Le texte se décomplexe à l’abord de la métamorphose de l’homme revisité en un autre....

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Théâtre auteurs

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lundi 09 janvier 2017

Son physique est impossible

Par Simone Alexandre

La mise en scène réalisée par Nathalie Sandoz procure la note indispensable de drôlerie permettant à ce texte âpre au possible de nous distraire...

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Un fauteuil pour l'Orchestre

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dimanche 08 janvier 2017

Comment réussir dans la vie

Par Corinne François-Denève

La pièce de Mayenburg décline un thème éminemment spectaculaire, dénonçant la tyrannie des apparences de nos sociétés postmodernes et posant la question des corps et des visages au théâtre. « Beauty is in the eye of the beholder », disait Oscar Wilde...

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Mediapart-Les dits du théâtre

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vendredi 06 janvier 2017

Un espoir de poésie et de différence

Par Dashiell Donello

Marius von Mayenburg après la pièce Visage de feu, avec laquelle il avait obtenu en 1998 le prestigieux prix Kleist, s’est forgé une solide notoriété chez les dramaturges contemporains. Avec Le moche, son écriture nous plonge dans la perte d’identité et l’illusion de « paraître tellement mieux » entre les guillemets d’une ironie non feinte de l’auteur....

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Théatre.com

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vendredi 06 janvier 2017

Une fable féroce et grinçante

Par Laurent Steiner

Le moche dans une mise en scène aboutie de Nathalie Sandoz mettant en valeur le texte singulier et original...

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