samedi 06 juin 2015
Ceux qui sont morts ne sont jamais partis
Par Evelyne Trân
Il y a tous ces fantômes qui se dressent, ceux des victimes de la guerre civile à Brazaville au Congo qui eût lieu entre 1993 et 2001 et les vivants, les rescapés, qui tentent de témoigner, de survivre . Le chorégraphe Bidiefono Delavallet, les danseurs, les musiciens et le chanteur Athaya MOKONZI se souviennent dans leurs tripes de l’horreur de la guerre. Ils manifestent que le pont n’est pas rompu entre les vivants et les morts comme dans