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Dernières critiques
jeudi 30 janvier 2014
La poésie et l'étrangeté du texte rappellent les contes cruels de Barbey d'Aurevilly
Par Martine Silber
Pas étonnant donc que Thibault Rossigneux ait eu envie de porter à la scène le texte de Stéphanie Marchais. La poésie et l'étrangeté du texte rappellent les contes cruels de Barbey d'Aurevilly ou les histoires de son ami Edgar Poe, ou encore L'Etrange histoire du Docteur Jekyll et de Mister Hyde de R.L. Stevenson, ou même le Tour d'Ecrou d'Henry James......
vendredi 24 janvier 2014
Par Dany Toubiana
Il y a d'abord ce titre " Corps étrangers " qui évoque l'escarbille dans l'œil ou l'étranger dans le corps social, qui nous conduit de l'étrangeté à l'étranger et vice-versa. Corps inertes, disproportionnés ou harmonieux, corps mécanique d'un robot humanoïde, corps à disséquer ou à soustraire, le corps réel ou métaphorique crée la chair de ce texte magnifiquement poétique et lyrique de Stéphanie Marchais, porté par une mise en scène inventive et...
Reg'Arts
mardi 21 janvier 2014
Un scientifique, en quête de l'essence de vie
Par Bruno Fougniès
Un scientifique, docteur de son état, en quête de l'essence de vie à travers les corps qu'il dissèque en amphithéâtre. Un apothicaire fabriquant d'onguents et de potions, moitié charlatan, moitié pourvoyeur en cadavre pour les besoins du premier. Et puis un géant bossu, du moins un être de taille exceptionnelle, portant son existence solitaire comme une fatalité pâle et douce....
lundi 20 janvier 2014
Une belle création intelligente et questionnante
Par Evelyne Trân
La scène est plongée dans l’obscurité, celle-là même qui peut fasciner et saisir de peur un enfant qui voit la nuit tomber au fur et à mesure qu’il marche et qu’il sent coller à son corps comme un invisible compagnon inconnu.
lundi 20 janvier 2014
La scène exhale une odeur d’humus et de cave.
Par Mireille Davidovici
Corps étrangers de Stéphanie Marchais, mise en scène de Thibault Rossigneux. La scène exhale une odeur d’humus et de cave. Dans l’ombre, se profile une silhouette difforme. O’Weill, un géant « né tordu », erre dans le brouillard des bas quartiers de la ville. A ses trousses, Hunter, un médecin fasciné par l’immense squelette qu’il devine sous la peau de sa proie : «Un homme de cette taille est contraire à la nature et il est de mon devoir d’en...