Dans un compagnonnage fertile, le metteur en scène Alain Batis, associé aux autrices Léonore Confino et Géraldine Martineau, aborde un sujet puissant par le...

Un très beau moment de poésie contemporaine, sur des sujets puissants autour de l’immigration, l’industrialisation de la marine, le suicide, l’amour et la foi....

Pour aborder des thématiques contemporaines souvent d'une récurrente actualité tragique et sans verser dans la frontalité documentaire, Camille Davin use du registre de la fable et du registre du théâtre immersif, tel pour "Jardins suspendus" crée en 2017, et ce sous obédience de la continuité stylistique....

Dès le premier tableau nous sommes transportés dans un univers onirique plein de poésie. Nous découvrons Platoniun station spatiale des terriens. En compagnie de A et B jeunes « Platoniens » nous admirons la vue magnifique de la terre. Cette planète bleue que évolue tranquillement dans l’univers.

Les rêves s’inscrivent rarement dans la réalité, faute de quoi le désir qui permet à un individu d’aller au-delà de ses connaissances, d’aller de l’avant et tout simplement d’aborder l’autre par essence différent, ne pourrait s’exercer.

Une maison de campagne familiale où la célèbre actrice Arkadina vient se ressourcer avec son amant Trigorine, un écrivain à succès. Ce soir, Treplev présente une pièce novatrice qu’il a écrite et mise en scène, bien décidé à impressionner sa mère Arkadina. Nina, sa bien-aimée en sera l’interprète. Très vite, le petit théâtre s’installe : le lac de la propriété en toile de fond, quatre bandes de papier kraft

Nabokov disait qu’ « aucun auteur n’a créé avec plus de naturel des personnages aussi pathétiques que ceux de Tchekhov. Son humour calme et subtil imprègne la grisaille des vies qu’il crée ». Prenez la Mouette (1896). On ne s’en lasse pas. Chaque saison en offre au moins trois ou quatre. C’est au tour d’Isabelle Hurtin (Cie du NESS) de la mettre en scène, dans la traduction d’Antoine Vitez

Dans un décor monumental reconstituant le hall de gare de Varsovie, toute la famille Gombrowicz accompagne Witold (Gombrowicz, l’écrivain) qui se rend en argentine. La mère de famille s’étant trompée dans les horaires de train : ils ont neuf heures à tuer......

Witold Gombrowicz a écrit une pièce inachevée et abandonnée, intitulée « L’Histoire » retrouvée après sa mort. Christophe Honoré s’en empare, la finit et même la réécrit sous le titre ambigu « Fin de l’histoire ». Quelle histoire ? Quelle fin ?...